Ce chapitre vise à donner davantage d’éléments pour vous aider dans votre choix et vous conduire progressivement vers l’instrument qui vous conviendra le mieux. Celui qui sera adapté à votre besoin et saura satisfaire votre attente.
Quelques notions de base sont rappelées.
Pensez à ce que vous souhaitez explorer et tenez compte de votre niveau d’expérience et de vos possibilités d’installation.
Que l’on parle d’un télescope ou d’une lunette astronomique, le critère le plus discriminant dans votre choix restera son diamètre d’ouverture. Plus il sera ouvert et plus vous aurez de lumière à votre disposition pour l’observation. La lumière dont nous parlons est celle émise par les étoiles ou bien par la combustion de gaz ou encore réfléchie par les planètes éclairées par notre soleil.
L’ouverture se définit comme le diamètre de l’élément principal du système optique, un miroir pour un télescope Newton ou une lentille d’objectif pour une lunette.
Le système optique est contenu dans le tube. Pour illustrer, imaginez que vous deviez remplir d’eau votre instrument, plus vous avez la sensation qu’il peut en contenir et meilleur c’est.
Il y a d’autres éléments à prendre en compte pour le choix de l’instrument bien entendu mais plus grande est l’ouverture du télescope, plus vous verrez d’éléments et de détails. La clarté, c’est à dire l’apparente luminosité des astres vus au travers l’instrument optique et la résolution maximale, c’est à dire les détails les plus fins observables sur un objet toujours au travers de l’instrument optique, représentent deux éléments fondamentaux pour l’astronomie. Ils sont directement liés à l’ouverture du tube formant le corps de la lunette ou du télescope.
Le diamètre de l’ouverture est la première chose à considérer sur un télescope ou une lunette pour collecter le maximum de lumière, vous l’avez maintenant bien compris.
Mais attention car un grand diamètre fait souvent partie d’un gros engin puisqu’il faut aussi une monture et un trépied correspondant à la taille du tube.
Un gros instrument qu’il vous faudra stocker, entretenir et ranger proprement mais qu’il vous faudra aussi déplacer.
Tenez en compte pour votre choix. Il faut trouver votre compromis entre les performances et votre capacité à pouvoir déplacer votre télescope. Pour débuter, il est recommandé de prendre un télescope d’ouverture raisonnable, qui permette d’éveiller son intérêt et d’apprendre les manipulations. Sur le site, il n’existe pas de télescope hors norme, nous avons pris le parti délibéré de ne vendre que des instruments bien adaptés aux besoins de l’astronomie habituellement pratiquée. Les instruments sélectionnés sont surtout remarquables par leur qualité plus que pour leur dimension, bien que le 203 mm soit déjà un appareil de bonne taille.
Il vous faut jongler entre deux options : soit un instrument léger, compact et facilement transportable, soit un instrument lumineux, plus lourd mais aux meilleures performances optiques.
Commençons par définir la résolution, car comme tout appareil de précision et de mesure, le télescope ou la lunette possède sa propre résolution.
La résolution : Un télescope peut être assimilé à un instrument de mesure et à ce titre, il dispose de sa propre résolution, c’est à dire sa capacité maximale de travail, au de là de laquelle, il y aura une perte d’informations.
Une règle empirique établit que le grossissement maximal est de 2 fois le diamètre de l’ouverture exprimée en mm.
Cela donne 120 à 140 x pour les petites lunettes astronomiques, c’est bien suffisant pour admirer les anneaux de Saturne par exemple, une des merveilles du ciel.
Dans le cas du télescope, pour la résolution, nous parlerons du grossissement maximal avec le plus de détails visibles, au-delà, l’image sera simplement agrandie sans être plus informative. Cela signifiera que l’on dépassera la limite de résolution de l’instrument. Pour imager, c’est comme si vous vouliez vous peser au kilo prés avec une balance graduée de 5 kilos en 5 kilos. Ce ne sera pas possible. Par contre, si vous pesez 75 kilos et que votre balance indique 75 kilos, il se peut que cette mesure soit parfaitement exacte au gramme prés, mais ça, c’est la précision de votre balance.
Pour un système grossissant comme un télescope ou une lunette, c’est la même chose mais appliquée au grossissement. Il y a des choses que votre instrument ne saura pas faire, cela ne veut pas dire qu’il ne fonctionne pas, mais simplement que vous avez dépassé ses limites de résolution. Le parallèle avec la balance et la mesure du poids n’est que fortuit.
Si le télescope est très résolvant, il vous permettra de voir des détails de plus en plus fin et de l’ordre de quelques kilomètres sur la surface lunaire par exemple. Si par contre il est peu précis, vous n’arriverez pas à vous caler sur le détail, vous sauterez sur une autre partie par exemple.=
Généralement, on admet que la valeur de grossissement maximal exploitable dans les limites de résolution de l’instrument est assimilée au diamètre du miroir du télescope exprimé en mm :
Par exemple 114 fois pour un 114 mm . Théoriquement un télescope ou une lunette peuvent atteindre des grossissements énormes, mais bien avant, les limites de résolution auront été atteintes et vous ne verrez rien de plus. D’autant que grossir fortement n’est pas utile pour l’astronome amateur. Les observateurs expérimentés travaillent généralement entre 0,5 à 1,0 x le diamètre.
C’est cette dernière notion du grossissement qu’il est souhaitable d’appliquer.
Les télescopes sont soit équipés d’une monture azimutale (qui pivote sur l’axe droite-gauche (azimut), et l’axe haut-bas (altitude) soit d’une monture équatoriale. Cette dernière se règle pour autoriser un mouvement de rotation (axe polaire ou ascension droite) autour de l’axe de la terre et ainsi elle semble annuler l’effet de cette rotation lorsque vous observez.
La monture fait le lien entre le trépied du télescope et le tube qu’elle supporte.
Les montures azimutales sont simples et légères, elle sont faciles d’emploi, elles sont préférées pour les observations astronomiques et terrestres.
La forme en U est bien adaptée et équipe les instruments en vente sur notre site internet.
La forme en U résiste bien aux sollicitations mécaniques, elle est ferme et vieillit bien.
Elle fait la joie de ce qui souhaitent passer rapidement d’une observation à une autre en pointant simplement la lunette dans la direction, ce que l’on appelle "saute étoile" .
Spécialement étudiées et conçue pour l’astronomie et l’exploration du cosmos, la monture équatoriale présente un aspect un peu rébarbatif. Il ne faut pas s’arrêter sur cette première impression. Sa mise en œuvre reste simple et elle permet de suivre finement la course des étoiles dans le ciel. C’est un excellent outil de travail que l’on commande à l’aide de flexibles. Plusieurs dimensions existent suivant l’effort nécessaire pour le tube de télescope qu’elle reçoit.
Monture EQ1- Monture EQ2 - Monture EQ3 - Monture EQ4 le chiffre désigne la taille de la monture, il n’a de valeur que dans la gamme d’un fabricant. En effet, le chiffre peut être le même mais suivant la Marque ne pas désigner la même dimension. Certaines gammes sont larges avec de nombreux chiffres pour avoir la bonne monture avec le bon instrument. Dans une gamme donnée, par exemple, le chiffre 2 peut désigner une monture plus faible que sur naturoptic.
L’avantage de la monture équatoriale par rapport à l’azimutale est de permettre un suivi plus facile du mouvement des étoiles dans le ciel.
Ce mouvement peut être obtenu soit par un flexible de commande manuelle, soit par une motorisation pour un suivi en continu sans fatigue. Les observateurs débutants qui sont essentiellement intéressés par la lune et les planètes préfèrent la monture équatoriale parce qu’elle facilite l’observation et permet le ² saute-étoiles ² dans la voûte céleste.
La monture équatoriale de chaque télescope est étudiée en fonction de son poids et de son encombrement (EQ1, EQ2, EQ3, EQ4).
Veiller à ce que la monture de votre télescope paraisse bien solide et rigide, bien adaptée à ses dimensions.
Une monture trop légère n’apportera pas la stabilité nécessaire aux observations de qualité. Elle transmettra les vibrations et vous serez gênés dans vos observations.
Un corps transparent limité par deux surfaces dont l’une au moins n’est pas plane sera considéré comme une lentille.
On classe habituellement les lentilles en deux catégories et six formes : Une lentille à bords minces peut être biconvexe, plan convexe, ménisque convergent. Une lentille à bords épais peut être biconcave, plan concave, ménisque divergent.
Le diamètre d’ouverture est le diamètre du cercle limitant la lentille. On utilise dans les instruments optiques des associations de lentilles en fonction de leur propriété. Généralement les lentilles sont en verre, ce qui peut expliquer le poids des instruments optiques de grand diamètre d’ouverture car le verre est un matériau dense. Les lentilles peuvent avoir ou donner des défauts que l’on appelle aberrations : De distorsion, c’est à dire quand les rayons lumineux ne sont plus voisins de l’axe de la lentille, Chromatiques, c’est à dire une dispersion de la lumière par le verre de la lentille, par exemple, lorsque le rayon lumineux heurte le bord de la lentille, la lumière est décomposée et une irisation se produit. La correction de ses aberrations est complexe et délicate, on l’obtient en associant plusieurs lentilles en fonction de leur propriété.
Corrélation : plus on met de lentilles dans l’instrument et plus son prix va monter, parfois de façon exponentielle !
Un rayon lumineux qui vient à la rencontre d’une lentille de verre va, au contact de ce nouveau corps, subir une déviation de son trajet, il change de direction, c’est la réfraction. On appelle réfracteur les instruments qui sont un assemblage de lentilles. C’est ainsi que l’on fabrique les lunettes astronomiques.
Le tube d’une lunette est le plus souvent long et mince, monté sur un trépied, avec une lentille d’objectif à une extrémité et un oculaire à l’autre.
Une lunette offre des images nettes, précises et contrastées. Malheureusement, une lunette de grand diamètre coûte très cher et demande une construction optique et mécanique encombrante, lourde et finalement peu adapté à l’astronome amateur. Lourde parce que les lentilles en verre, un matériau dense pèsent lourd. Chers, parce que le montage des lentilles dans le corps nécessite des assemblages mécaniques précis et que les lentilles elles-mêmes, pour corriger leurs aberrations nécessitent des traitements, des dépôts d couches aux propriétés différentes.
Les petites lunettes en revanche rencontrent un vif succès car elles sont faciles à mettre en œuvre, faciles à transporter et à ranger et permettent une observation dés que le temps le permet.
Le budget est particulièrement attractif et la production en série permet de réduire le coût de montage, de conception et d’usinage.
Elles sont exploitables partout et donnent de bonnes images dans les limites de leur petit diamètre.
Une petite lunette ne demande pratiquement pas d’entretien sauf bien sur d’être manipulée avec soin comme tout instrument optique de précision.
Pour définir le principe de fonctionnement du télescope de Newton, il nous faut définir ce qu’est un télescope réflecteur. Nous nous attardons sur le télescope de Newton car les télescopes en vente sur naturoptic reposent sur ce principe optique.
Réflecteur : parce que le principe optique employé ici est de réfléchir la lumière.
Les réflecteurs utilisent des miroirs, au lieu de lentilles, pour recevoir et focaliser la lumière.
Le système à miroir selon Newton est le plus courant, un miroir primaire concave (creux vers l’intérieur) est placé au fond du tube optique du télescope. Il est visible quand on regarde par l’ouverture.
Un miroir secondaire, plus petit et plan, placé lui à l’opposé, c’est à dire proche de l’ouverture dévie le faisceau lumineux sur le côté vers l’oculaire. Ce dernier est également visible, c’est le plus proche de l’ouverture, attention, cet ensemble du miroir secondaire est réglé finement, il ne doit pas être touché.
Les télescopes bâtis suivant le principe de Newton disposent généralement d’une grande ouverture. Grâce à cela, ils collectent beaucoup de lumière et donnent de belles images nettes et contrastées.
Bien dimensionnés, ces télescopes sont stables car relativement légers et toujours supportés par une monture robuste. L’assise est excellente et le confort de l’utilisateur très correct puisque l’on vient se placer sur le côté pour regarder. On peut se tenir debout ou bien assis, grâce au trépied ajustable en hauteur.
Le budget d’un réflecteur est attirant car il permet sans se ruiner d’avoir un instrument de bon diamètre, bien ouvert. Le meilleur rapport qualité / prix / efficacité revient donc aux Newton entre 114 et 203 mm , montés sur une monture équatoriale. Ils sont robustes et performants pour ce niveau de prix.
Ils constituent un très bon choix pour l’astronome amateur dont l’intérêt n’est pas encore bien fixé. En effet avec un tel instrument optique, on peut tout faire et très correctement. Il est possible de scruter le ciel profond dans la plage basse des grossissements ou bien de regarder du détail vers les planètes en utilisant les forts grossissements. Les télescopes de Newton nécessitent périodiquement une petite maintenance.
La lunette astronomique est un système fermé qui demande peu d’entretien, seul la lentille d’objectif peut être nettoyée occasionnellement avec un chiffon doux. Par contre, les miroirs des télescopes demandent périodiquement un alignement pour donner leurs meilleures performances. Cela s’appelle colimater le télescope, ce n’est pas une opération difficile, elle prend quelques minutes à l’astronome amateur un peu bricoleur.
Le tube d'un Newton est ouvert, il reçoit par conséquent de la poussière et si on le laisse sans son couvercle, il peut vite se salir et demander de l’entretien. Un nettoyage périodique peut être utile, attention à toujours utiliser un chiffon doux, pas de solvant bien entendu et éviter de toucher directement les parties optiques. Pour limiter ce nettoyage, prenez le soin de ranger votre appareil dans un endroit sec, sain et couvrez le par son opercule.
Un petit coup de soufflette ou de pinceau léger pour évacuer la poussière suffit.
Un compromis agréable de toutes les notions vues jusqu’à maintenant se retrouve dans le télescope ultra-compact mais performant qu’est le Newton catadioptrique. Il s’agit d’une amélioration du newton simple fût en ajoutant une lentille qui va jouer le rôle de doubleur de focale du miroir primaire. Cette lentille est insérée lors de l’assemblage du télescope pour venir sur le trajet du rayon lumineux entre le miroir secondaire et l’oculaire. Vous pouvez apercevoir cette lentille en regardant à l’intérieur du tube, par l’ouverture.
Sur le site, le télescope Astrovision 114 / 1000 mm est une illustration de cette construction optique.
Pour un rapport qualité / prix / efficacité plus que bon les Newton-Catadioptriques offrent une grande capacité à être déplacés et une qualité optique tout à fait bonne.
En général, les astronomes désirant un télescope performant et facilement transportable ont trouvé ce compromis dans ce type d’appareil. Certains n’hésitent pas à le glisser dans le sac à dos pour l’emporter en randonnée astronomique dans la montagne. La longueur du fût permet en effet une telle aventure.
Cette technologie permet de proposer un article tout à fait polyvalent et dont le coût reste très attractif. Le 114/1000 mm est devenu un télescope très demandé et plébiscité.
L’entretien reste le même que pour un télescope Newton standard puisque le tube est ouvert, il peut aussi récolter de la poussière et se salir. Les précautions d’usage s’appliquent également ici.
Les étoiles et les planètes, vues au travers d’un télescope, apparaissent tremblantes et scintillantes.
Ce phénomène se produit parce que la lumière en traversant les couches atmosphériques, en passant à travers notre air se déforme. Le trajet des rayons lumineux est affecté dans son trajet.
Imaginez simplement vos phares de voiture lorsqu’ils rencontrent une nappe de brouillard. Vous avez du mal à percevoir la route, la lumière émise par vos feux peut même vous aveugler quand elle est réfléchie par les fines particules d’eau.
Il ne faut pas oublier l’extrême éloignement des objets que vous regardez, et donc l’ensemble des obstacles que cette lumière va rencontrer et au final, son voyage à travers notre atmosphère terrestre. D’ailleurs, regarder le ciel c’est un peu remonter dans le temps.
En effet, la lumière émise par l’étoile que vous êtes en train de regarder est partie de cet astre depuis bien longtemps.
Cette image que vous voyez d’elle n’existe peut être plus aujourd’hui.
En effet, la lumière se déplace à 300 000 km / s et il lui faut plusieurs millions d’années pour nous parvenir en parcourant la distance qui vous sépare de cette étoile.
C’est donc un saut dans le temps passé.
Le phénomène de tremblement et de scintillement des astres est défini comme étant la visibilité.
Il est parfois bien apparent et gênant avec les télescopes de grand diamètre qui permettent de forts grossissements.
Quand vous utilisez un fort grossissement pour regarder la lune et les planètes, vous serez plus exposés à ce phénomène et votre observation peut en être affectée.
Un fort grossissement amplifie également les turbulences de l’air.
Quand la visibilité n’est pas très bonne, c’est simplement que vous ne pourrez pas utiliser votre télescope à son plein potentiel de grossissement. Le grossissement maximal sera vite atteint car les courants d’air atmosphériques provoqueront trop de parasites dans votre image. Pour regarder le ciel profond avec un télescope de plus de 200 mm , vous travaillerez avec un grossissement de 40 à 80 fois, vous ne serez donc pas trop exposé à cette perturbation car vous êtes dans la tranche basse du grossissement. Par contre, vous serez pénalisé dans la tranche haute car le phénomène sera bien présent.
Comme dans toute décision d’achat, vous avez déterminé votre budget et vous êtes hésitant.
Votre télescope est équipé avec un jeu d’oculaires, mais vous pourrez par la suite en acheter d’autres.
Ils se monteront sans problème et vous permettront d’autres observations, d’autres approches, d’autres découvertes.
Ne pensez pas systématiquement à vouloir grossir davantage, mais pensez aussi aux oculaires de grandes focales aux optiques remarquables. Ils vous donneront beaucoup de lumière et donc des images nettes, et contrastées.
Ils vous donneront des images saisissantes en vous projetant dans le ciel et même si vous voyez moins de détails, c’est aussi ça l’astronomie.
Se retrouver projeté dans l’espace et avoir la sensation de faire partie du spectacle, d’être dedans et plus seulement spectateur passif d’une feuille de papier imprimé d’un magazine spécialisé vendu en kiosque.
Vous voilà maintenant informé, essayez de définir avec l’ensemble de ces éléments quel est votre besoin.
Vous voulez un instrument qui puisse vous satisfaire de façon globale Vous avez de la place ou êtes prêt à en faire un peu Un 203 / 800 mm sera parfait.
Vous avez moins de place et souhaitez un instrument polyvalent Vous voulez transporter un télescope, même l’emmener en balade dans le sac à dos : Un 114 /1000 mm.
Un cadeau pour un enfant dont vous ignorez l’attrait pour l’astronomie, une envie de savoir pour vous même : Choisissez une lunette 60 ou 70 mm de diamètre.
L’intérêt est là, votre enfant en parle vraiment et vous vous dites pour quoi pas moi aussi Prenez un 114/ 900 mm . Voilà, un bel instrument complet et lumineux, un instrument qui est imposant sans être trop encombrant.